Phobie spécifique
Mise à jour
04/07/2021
INTRODUCTION/GÉNÉRALITÉ
- Elle sont très fréquentes chez l’enfant et s’inscrivent le plus souvent dans le développement normal.
- C’est une peur irraisonnée et incontrôlable d’un objet ou une situation bien définie. Elle est disproportionnée par rapport à la menace réelle. L’anxiété est aiguë pouvant aller jusqu’à l’attaque de panique, en présence ou à l’évocation de l’objet ou de la situation redoutée.
- Cela peut entrainer des comportements d’évitement, une sidération ou une hypervigilance.
- Les phobies les plus fréquentes concernent les animaux, mais elles peuvent aussi être en rapport avec le sang, les éléments naturels ou encore certaines situations spécifiques (tunnel, pont…).
HISTORIQUE
Votre texte ici
PHYSIOPATHOLOGIE
Votre texte ici
ÉPIDÉMIOLOGIE
- La prévalence est de 11,6% sur la vie entière.
FACTEURS DE RISQUES
Votre texte ici
EXAMEN CLINIQUE
EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Votre texte ici
DIAGNOSTICS DIFFÉRENTIELS
- Les causes non psychiatriques, qui doivent être éliminées.
- L’intoxication par une substance psychoactive.
- Les pathologies psychiatriques: essentiellement les autres troubles anxieux. Il faudra aussi éliminer la nosophobie ( peur de contracter une maladie s’inscrivant dans différentes pathologies) et les phobies d’impulsion ( crainte de réaliser sans le vouloir un acte dangereux ou agressif, qui sont classées dans les troubles obsessionnels compulsifs et qu’on peut retrouver dans d’autres troubles).
ÉTIOLOGIE
Votre texte ici
COMPLICATIONS
Votre texte ici
PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE
- Le traitement repose sur les TCC (techniques d’exposition), aucun traitement pharmacologique n’ayant fait la preuve de son efficacité.
- On peut utiliser les BZD de manière ponctuelle pour les phobies invalidantes sur une durée limitée
ÉVOLUTION/PRONOSTIC
- En général, elles n’ont qu’un faible retentissement sur la vie du patient mais elles peuvent entrainer un handicap non négligeable.
- La plupart des phobies s’atténuent ou disparaissent à l’âge adulte mais si elles persistent, leur évolution est le plus souvent chronique et le taux de rémission spontanée faible.
PRÉVENTION
Votre texte ici
SURVEILLANCE
Votre texte ici
CAS PARTICULIERS
Votre texte ici
THÉRAPIES FUTURES
Votre texte ici