Polykystose rénale autosomique dominante

mise à jour
Mise à jour 21/11/2020

INTRODUCTION/GÉNÉRALITÉ

 

HISTORIQUE

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PHYSIOPATHOLOGIE

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ÉPIDÉMIOLOGIE

  • La polykystose rénale autosomique dominante est la maladie génétique rénale la plus fréquente (1 cas pour 1 000 naissances).
  • Le risque de transmission de la maladie à la descendance est de 50 %. Il est indispensable de faire un arbre généalogique.

FACTEURS DE RISQUES

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EXAMEN CLINIQUE

Les signes révélateurs sont :

  •  l'HTA ;

  •  les signes rénaux : gros reins, douleurs lombaires, hématurie macroscopique, lithiase, infection de kyste, insuffisance rénale chronique.

Outre la présence de kystes hépatiques, les atteintes extra-rénales sont :

  •  les anévrismes des artères cérébrales (prévalence = 8 %) ;

  •  les prolapsus de la valve mitrale;

  •  les hernies inguinales;

  •  la diverticulose colique.

EXAMENS COMPLÉMENTAIRES

Le diagnostic repose sur l'échographie rénale (± hépatique).

L'ECBU peut être stérile au cours des infections de kyste. Le traitement de l'infection doit durer 3 semaines pour la plupart des équipes.

DIAGNOSTICS DIFFÉRENTIELS

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ÉTIOLOGIE

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COMPLICATIONS

Le stade d'insuffisance rénale chronique terminale survient le plus souvent entre 55 ans et 70 ans. 

PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE

Le traitement symptomatique comprend :

  • des boissons abondantes;

  • le traitement de l'HTA (IEC en première intention) ;

  • la prise en charge des conséquences de l'insuffisance rénale chronique 

  • le traitement des lithiases et des infections kystiques ;

  • le traitement symptomatique des hémorragies intrakystiques (antalgiques et boissons abondantes) 

  • dialyse et transplantation rénale au stade terminal de l'insuffisance rénale. 

ÉVOLUTION/PRONOSTIC

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PRÉVENTION

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SURVEILLANCE

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CAS PARTICULIERS

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THÉRAPIES FUTURES

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RÉFÉRENCES