Fracture du scaphoïde

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Mise à jour 14/07/2021

INTRODUCTION/GÉNÉRALITÉ

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HISTORIQUE

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PHYSIOPATHOLOGIE

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ÉPIDÉMIOLOGIE

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FACTEURS DE RISQUES

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EXAMEN CLINIQUE

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EXAMENS COMPLÉMENTAIRES

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DIAGNOSTICS DIFFÉRENTIELS

A) L’ostéonécrose du semi-lunaire

  • Aussi appelée “maladie de Kienböck”, l'atteinte du semi-lunaire est beaucoup plus rare que celle du coude. 
  • Elle se manifeste par des douleurs d'apparition brutale, mais souvent on note une limitation des mouvements de flexion-extension du poignet et, de façon plus inconstante, de l'inclinaison latérale de la main.
  • Il existe parfois une diminution de la force de préhension. 
  • A l'examen clinique, des douleurs peuvent être retrouvées lors des mouvements de l'articulation et de la pression de la fossette du semi-lunaire.
  • Les vibrations entraînent des microtraumatismes vasculaires, conjugués à l'effet du froid, de la posture (hyperextension du poignet). 
  • Cela aboutit à une réduction du flux sanguin nourricier de l'os (la vascularisation précaire de l'os semi-lunaire explique la plus grande fréquence de l'atteinte de cet os par rapport aux autres os du poignet). 
  • Il n'y a pas de facteur de risque individuel.
  • Les radiographies de face et de profil et parfois l’IRM voir l’arthro-TDM du poignet sont indispensables et vont permettre de faire le diagnostic. 
  • On peut retrouver une condensation osseuse, des géodes (zones de déminéralisation) allant jusqu'à la nécrose osseuse et même une arthrose radio-carpienne (blocage du poignet).
  • Le pronostic est souvent lié au délais de prise en charge. Si le diagnostic est porté précocement, l’évolution peut être ralentie par un traitement bien conduit et une prévention efficace. Quand la maladie est évoluée, le devenir fonctionnel du poignet reste souvent aléatoire avec reprise d'activité professionnelle difficile. 
  • L'exposition aux vibrations doit être contre-indiquée.
  • Avis spécialisé en urgence pour discuter de l’intérêt d’une solution chirurgicale par transplantation vasculaire par exemple.
Radiographie du poignet de face identifiant la condensation osseuse et le début d’arthrose radio-carpienne suite à une maladie de Kienböck
IRM d’une ostéonécrose du semi-lunaire en coupes sagittales et frontales, séquence T1

B) L’ostéonécrose du scaphoïde

  • Beaucoup plus rare que la maladie de Kienböck, la maladie de Köhler se traduit par des douleurs avec impotence fonctionnelle de la main et limitation des mouvements d'extension et d'inclinaison externe de la main.
  • La douleur est réveillée par la palpation de la tabatière anatomique.
  • Les vibrations entraînent des microtraumatismes vasculaires, conjugués à l'effet du froid, de la posture (hyperextension du poignet). 
  • Le scaphoïde possède toutefois une vascularisation riche expliquant la rareté relative de cette pathologie. 
  • Il n'y a pas de facteur de risque individuel.
  • L'examen radiologique (radiographie face et profil en première intention puis arthro-TDM ou IRM) confirme le diagnostic avec une modification de la structure osseuse, densification, géodes, pouvant aller jusqu'à la nécrose avec évolution vers une arthrose radio-carpienne.
  • L'ostéonécrose du scaphoïde a souvent une évolution défavorable avec constitution d'une pseudarthrose qui rend plus difficile la prise en charge médicale. 
  • Quand la maladie est évoluée, le devenir fonctionnel du poignet reste souvent aléatoire avec reprise d'activité professionnelle difficile. 
  • L'exposition aux vibrations doit être contre-indiquée.
  • Le traitement reste l’affaire de spécialistes.

 

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